Créée voilà trois ans, High Society vit depuis ses débuts un véritable conte de fées et répand à travers la France, via sa cohorte de franchisés, des boutiques de prestige où se côtoient quelques-uns des meilleurs produits de la filière CBD. Gros plan sur une réussite à la française, portée par un engagement et une passion indéfectible.
La belle histoire d’High Society commence en 2018, dans les Bouches-du-Rhône, lorsque Mao Aoust, jeune autodidacte clairvoyant de vingt printemps, ouvre à Marseille sa première boutique consacrée au CBD et à ses dérivés. Situé Cours Julien, en plein cœur de la cité phocéenne, dans un quartier branché et cosmopolite, le magasin de Mao attire rapidement une clientèle tant avertie que néophyte et devient en quelques mois une référence. La qualité des produits, soigneusement sélectionnés par Mao qui se déplace en personne chez les producteurs et les grossistes, n’est pas non plus étrangère à l’engouement du public pour cette nouvelle enseigne, à une époque où la vente au détail de CBD constitue de surcroît une activité périlleuse, menée par quelques audacieux qui subissent régulièrement les foudres de la justice.
Le succès d’High Sociéty pousse Mao à ouvrir largement la brèche en proposant rapidement des franchises qui vont séduire toujours plus d’entrepreneurs en quête de marchés prometteurs. La marque High Society commence donc à essaimer d’abord dans le sud de la France, notamment à Montpellier, puis un peu partout, de Saint-Étienne à Montauban, de Valenciennes à Draguignan… Conviant à la fête quelques amitiés précieuses et compétentes et face à la demande toujours croissante, Mao crée à l’été 2020 au sein de l’entreprise un département totalement dédié aux franchises, animé par quatre collaborateurs motivés, qui proposent un accompagnement personnalisé pour chaque nouveau contrat.
Tout franchisé débutant doit respecter la charte de l’enseigne, en échange de quoi celle-ci se met en quatre pour assister ses futurs promoteurs, allant parfois même jusqu’à leur dénicher un local, en cas de difficultés. Le résultat de cette politique efficace, mêlant professionnalisme et bienveillance porte ses fruits, puisque High Society compte à ce jour plus de 85 boutiques à travers toute la France et lorgne à présent vers l’étranger, notamment l’Allemagne, l’Espagne ou le Portugal, qui jouissent en outre de conditions administratives et judiciaires plus clémentes que celles de l’Hexagone. Lorsque High Society aura conquis l’Europe avec ses boutiques, gageons qu’elle n’en restera pas là et qu’elle fera le nécessaire pour fournir ses boutiques avec sa propre production. Une nouvelle aventure que nous vous conterons peut-être un jour…
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