Cinq fois champion du monde de kickboxing, diplômé d’un master en marketing-entrepreneuriat Paris-Dauphine, businessman accompli et toujours sur le front pour soutenir des opérations caritatives, Cyril Benzaquen est aussi, depuis peu, partenaire et ambassadeur de Greeneo, marque historique du CBD en France. Une nouvelle cause qu’il a pris à cœur, et à bras le corps…
Quelle a été ta première opinion sur le CBD et comment as-tu évolué sur le sujet ?
J’ai une hygiène de vie extrêmement rigoureuse et forcément, le premier avis que j’ai eu sur le CBD n’était pas très positif car associé au cannabis récréatif. Mais mon point de vue a radicalement évolué quand j’ai commencé à voir des athlètes américains de référence, qui intégraient le CBD dans leur protocole de récupération et d’entraînement. C’est là que j’ai commencé à me renseigner sur le produit et sur ses effets.
Tu as récemment intégré le CBD dans ta routine sportive, à quelles fins ? Sous quelle forme ?
Mon utilisation du CBD est essentiellement centrée sur ma récupération. J’utilise les produits dont je suis l’ambassadeur, ils me conviennent super bien. Gel et Crème de massage, aussi bien pour l’aspect musculaire après les entraînements très durs physiquement, que pour les aspects plus spécifiques à mon sport : les chocs. Certains utilisent de l’Arnica, aujourd’hui moi j’utilise exclusivement du CBD.
L’AMA a déclassifié le CBD de la liste des produits prohibés. Alors pourquoi cette frilosité des athlètes français comme des fédérations ?
En France, il y a un vrai retard de l’intégration du CBD dans le monde du sport. Le CBD renvoie encore au cannabis récréatif, ce qui explique les réticences des athlètes. Par ailleurs, les fédérations n’en parle pas, cela entretient un tabou. Il n’y pas de pédagogie et cela n’aide pas à faire connaître le CBD qui non seulement n’est pas nocif, mais qui est même recommandé pour optimiser ses performances sans risques.
On connait les ravages des médicaments à base d’opioïdes, notamment chez les sportifs pratiquant des sports de contact. Penses-tu que le CBD puisse être une alternative à ce fléau ?
Le CBD est selon moi une excellente alternative. Je sais qu’il y a de nombreux athlètes qui connaissent des problèmes gastriques très invalidants pour avoir consommé trop d’anti-inflammatoires, trop d’antalgiques, qui ravagent la flore intestinale. Un même résultat sans effet secondaires néfastes, le choix me parait évident.
Comment analyses-tu l’engouement croissant pour le CBD et la peine du législateur à le suivre ?…
Il y a aujourd’hui une prise de conscience des effets néfastes de nos modes de vie, du stress, de la fatigue… La population française est aujourd’hui mature pour intégrer cette « médecine de prévention ». Cela ne veut pas dire qu’il faut délaisser la médecine traditionnelle, elle est nécessaire quand la maladie est là mais d’apprendre à s’auto réguler. L’explosion du CBD n’est que le résultat de ce changement de paradigme.
Tu collabores désormais avec Greeneo, tu en es même l’ambassadeur depuis mars 2021. Pourquoi cette marque plus qu’une autre ?
Pour moi, une collaboration avec une marque c’est d’abord une aventure humaine. J’ai simplement était séduit par les équipes Greeneo, leur approche très humaine et notre accointance sur le système de valeurs n’a laissé aucune place au doute. On s’est dit « on va y aller ensemble ». Et puis Greeneo est une marque leader et historique du CBD. Cela aussi m’a rassuré en tant que nouveau consommateur.
Selon toi, quel avenir pour le CBD dans le monde sportif, amateur comme professionnel ?
Il va devenir un « outil thérapeutique » incontournable du monde du sport. Spécialement dans le sport de haut niveau où on a besoin de protocoles de récupération performants. Le CBD me semble être un produit inévitable. Et comme les usages des sportifs finissent toujours par descendre dans la rue, je pense qu’au travers du sport, le grand public finira par l’intégrer à sa routine de soins et d’hygiène de vie.
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